Nous étions près de 150 cette année, à l’Université Paris-Dauphine, réunis pour apprendre et échanger tout au long de la journée autour du stoïcisme conçu comme mode de vie, et non seulement comme discours théorique.
Durant cette conférence, Michaël Pichat va nous expliquer, au travers d’exemples très concrets et de citations des maîtres stoïciens, comment faire la distinction entre ce qui est de l’ordre du factuel, et ce qui est de l’ordre de nos propres interprétations et jugements.
« Qu’est-ce qui est honorable ? » est une très bonne question, qui touche au cœur du stoïcisme et dont la réponse est tout aussi pertinente pour les adeptes du stoïcisme contemporain.
La liberté est l’un des concepts les plus difficiles à appréhender qui soient : tout le monde la désire, alors que pratiquement personne ne sait la définir. Que signifie la liberté d’un point de vue stoïcien ?
« Je n’ai eu de commerce avec aucun livre solide, sinon Plutarque et Sénèque, où je puise comme les Danaïdes, remplissant et versant sans cesse ». Le philosophe humaniste, nourri par la pensée antique, grâce à ses lectures assidues, en a subi les influences, tout en gardant son esprit critique. Dans cet article, nous nous intéresserons plus spécifiquement aux influences des Stoïciens sur Montaigne.
Aujourd’hui, j’ai la joie de recevoir Xavier Pavie, un éminent philosophe qui, dans la continuité de Pierre Hadot, a énormément travaillé, écrit, et même pratiqué les exercices spirituels philosophiques.
Les différentes formes de spiritualité proposées par la philosophie et la religion permettent de répondre, aujourd’hui encore, à la question du sens ou du but …
“Est libre celui qui vit comme il veut, qu’on ne peut ni contraindre, ni empêcher, ni forcer, dont les propensions ne sont pas entravées, dont les désirs atteignent leur but, dont les aversions ne sont pas contrariées.” Epictète
Le livret de la semaine stoïcienne vous propose chaque jour, 6 au 12 novembre, des lectures, des méditations, des exercices pratiques et des ressources complémentaires.
Dans cet article, je souhaite montrer l’intérêt de Pierre Hadot pour le stoïcisme. Cet intérêt n’est pas seulement philologique ou érudit, mais philosophique, c’est-à-dire existentiel.
