Dans la société d’abondance qui est la nôtre, la crise énergétique et environnementale nous invite à repenser nos modes de vie : contrainte ou volontaire, que …
[Apéro-philo] Joie et sobriété

Dans la société d’abondance qui est la nôtre, la crise énergétique et environnementale nous invite à repenser nos modes de vie : contrainte ou volontaire, que …
L’action convenable (kathekon en grec, officium en latin) est l’une des bases du naturalisme stoïcien, c’est-à-dire le fait que l’éthique s’enracine dans la nature, à la fois comme origine et comme fin. Les deux principaux exposés en grec, celui de Diogène Laërce et celui de Stobée donnent une définition en deux éléments : la « justification raisonnable » et « la conséquence ou conformité à la nature ».
Jordi Pià-Comella et Charles Senard, auteurs du livre Coacher avec les stoïciens, défendent l’intérêt du stoïcisme pour le coaching en entreprise.
Quelle est la pratique quotidienne d’un simple stoïcien ? Plutôt que d’écrire un article théorique sur le sujet, j’ai pensé qu’il pourrait être utile d’examiner de plus près un exemple de pratique stoïcienne, la mienne.
Dans cet article, nous allons nous intéresser à différents exercices de contemplation pouvant être réalisés dans le cadre du covoiturage. Nous étudierons ces exercices selon les trois disciplines du jugement, de l’action et du désir, introduites par Pierre Hadot dans son analyse des Pensées de Marc Aurèle.
Pourquoi est-ce qu’il y a un retour du stoïcisme aujourd’hui ? Où est-ce qu’on trouve de l’intérêt pour le stoïcisme ?
Dans cet article, nous allons nous intéresser à l’objet « voiture » en tant que tel. Nous allons d’abord le passer au crible de l’exercice de définition physique proposé par Marc Aurèle dans ses Pensées. Puis nous soulignerons l’importance de la bonne application des notions de bien et de mal dans le jugement de valeur porté sur cet objet, et enfin nous en questionnerons l’usage, et ce selon les deux points de vue des covoitureurs : en tant que conducteur (rapport à sa propre voiture) ou en tant que passager (rapport à la voiture d’autrui).
En covoiturant, nous devenons responsables de la préservation du corps d’autrui au même titre que le nôtre. On aurait du mal à trouver application plus explicite de l’image des Cercles de Hiéroclès avec les conséquences éthiques associées.
A partir des textes de Sénèque, Juliette Dross nous explique comment participer à la vie publique grâce à la réflexion, à l’éducation et à la transmission, quand l’action politique au sein de la cité n’est pas possible.
Avec du recul et une vision globale, peut-être réaliserons-nous que ce ne sont pas seulement les bonnes choses, mais ce sont également les défis relevés, qui façonnent notre identité.