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Réflexions stoïciennes

Lorsque nous examinons nos représentations, nous constatons que bon nombre de nos émotions négatives sont contre-productives, irrationnelles et absurdes. Au lieu de répéter sans réfléchir et de façon stérile le même comportement, faisons le choix d’examiner la représentation qui a généré ce comportement mal avisé ; ainsi nous pourrons mener une vie meilleure et plus heureuse. Et c’est là le but de la philosophie stoïcienne.

Comment se détermine l’action convenable?

L’action convenable (kathekon en grec, officium en latin) est l’une des bases du naturalisme stoïcien, c’est-à-dire le fait que l’éthique s’enracine dans la nature, à la fois comme origine et comme fin. Les deux principaux exposés en grec, celui de Diogène Laërce et celui de Stobée donnent une définition en deux éléments : la « justification raisonnable » et « la conséquence ou conformité à la nature ».

Le covoiturage, une application de la philosophie stoïcienne ? 2/3

Dans cet article, nous allons nous intéresser à l’objet « voiture » en tant que tel. Nous allons d’abord le passer au crible de l’exercice de définition physique proposé par Marc Aurèle dans ses Pensées. Puis nous soulignerons l’importance de la bonne application des notions de bien et de mal dans le jugement de valeur porté sur cet objet, et enfin nous en questionnerons l’usage, et ce selon les deux points de vue des covoitureurs : en tant que conducteur (rapport à sa propre voiture) ou en tant que passager (rapport à la voiture d’autrui).

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